Concernant la réserve opérationnelle, le DGGN a souligné que l’année 2017 sera marquée par une montée en puissance de la réserve opérationnelle, qui est l’un des éléments de la Garde nationale.
Le DGGN a rappelé que la Garde nationale est un label et qu’elle repose sur deux piliers : la défense et l’intérieur. Pour le GAR Richard LIZUREY, ce système paraît être efficient, car chaque pilier conserve son efficacité propre.
Aujourd’hui, 28 500 réservistes opérationnels servent au sein de la Gendarmerie nationale. L’objectif est de parvenir à 40 000 d’ici à 2019 d’où un effort budgétaire conséquent mais une procédure de recrutement et de fidélisation des réservistes.
Grâce à ces recrutements, le DGGN espère atteindre fin 2018 une empreinte au sol de 4 000 réservistes par jour.
Cette montée en puissance de la réserve s’accompagne d’une chaîne fonctionnelle rénovée : des cellules « réserve » vont être installées dans chaque groupement qui existent déjà en gestion mais elles vont être créées en organisation pour les reconnaître réellement.
Le 1er novembre 2016, un commandement des réserves de la gendarmerie est créé par transformation de la délégation aux réserves.
L »intégralité de l’audition du DGGN peut être consultée en téléchargeant le fichier, ci-après.